Beaucoup de personnes disent « si c’était aussi simple que ça » pour justifier le fait de ne pas réussir. Et je voulais rebondir sur ça pour cet article, car c’est souvent simple, mais ça ne veut pas dire que c’est facile.
Une partie de nous sait déjà. Plusieurs parties de nous interagissent constamment : la partie primitive (Papi), et la partie préfrontale (Jedi), qui sait articuler et planifier dans le temps, et la partie limbique (Mamie), qui gouverne nos ressentis.
Je vous invite à relire cet article pour mieux comprendre le fonctionnement de votre cerveau.
Le plus grand challenge est d’apprendre à appréhender le fait d’être inconfortable, de sortir de ses habitudes et de sa zone de confort.
L’action en elle-même est simple, mais se donner les moyens de changer n’est pas facile, et c’est bien ça l’enjeu.
Certaines personnes se mettent souvent dans des situations désagréables et pénibles. Ce n’est pas ça que je suis en train de suggérer.
Mais plutôt que quand vous sentez une envie au changement, vous allez devoir sortir de votre zone de confort.
Quand vous décidez de changer, la partie primitive de votre cerveau met les quatre fers en avant pour rester au confort. Donc il faudra donner plus de poids à votre partie préfrontale, Jedi, qui est capable de se mettre dans une position méta, qui sait que l’inconfort fait partie du changement.
C’est en passant à l’action que vous apprendrez à orienter votre esprit.
Beaucoup d’entre nous avons parfois l’impression de subir la vie. Que ce sont des facteurs externes qui déterminent nos circonstances. C’est une manière de voir les choses.
Mais une autre façon de voir est que les facteurs externes, le contexte, sont neutres. Et c’est notre positionnement par rapport à ce contexte qui crée des émotions, qu’elles soient positives ou négatives.
Dans notre interprétation de la situation, il est important de choisir une pensée qui ne nous rend pas impuissant.
Vous pouvez commencer par nommer l’émotion. Puis, posez-vous la question suivante : ‘Qu’est-ce que je vais faire ?’. Et si vous rencontrez des pensées d’impuissance, demandez-vous : ‘Qu’est-ce qu’il faudrait faire ?’.
Ceci vous permet de rentrer avec cette partie sage de vous. Vous pouvez également utiliser l’exercice des lettres d’évacuation, pour vous permettre de mettre vos pensées sur papiers. Ces lettres vous permettent de canaliser vos émotions. Ces lettres sont ensuite à détruire, elles servent comme moyen d’introspection.
Lorsqu’on est face à une situation difficile, vous vous rendez compte que ça ne va pas être facile, qu’il y a des émotions négatives. Peut-être allez-vous rentrer dans des techniques d’évitement et attendre que ça passe.
Mais quand vous faites ceci, quelque chose de pourri commence à mijoter au fond de vous. Votre état émotionnel, même caché, influence vos pensées et vos résultats.
Les émotions non-digérées vous prennent de l’énergie sans que vous vous en rendiez compte. Et après, ça peut prendre des années pour faire le tri.
Alors pourquoi pas commencer aujourd’hui, au moment présent de la situation ?
Votre challenge est d’apprendre à traverser les moments difficiles en résolvant les choses simplement.
Simple ne veut pas dire facile. Ce n’est pas facile de faire face aux situations difficiles, mais c’est souvent simple.
Voici quelques pistes pour vous permettre de commencer :
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