Les conversations difficiles sont souvent évitées, car elles peuvent être inconfortables et la peur de blesser ou de créer un conflit est présente. Cependant, il est important de comprendre que ces conversations difficiles font partie de l'affirmation de soi et sont essentielles pour le développement personnel. Elles permettent de communiquer clairement ses besoins, ses limites et ses valeurs.
Voici quelques exemples de sujets de conversation difficiles :
Êtes-vous quelqu'un qui a essayé de contrôler l'opinion des autres et s'est retrouvé déçu lorsque cela n'a pas fonctionné? Si c'est le cas, vous n'êtes pas seul. Beaucoup d'entre nous passent une partie importante de leur vie à essayer d'être une "bonne" personne, quelqu'un qui ne fait jamais de mal, qui place les besoins des autres avant les siens, qui est toujours là pour écouter et soutenir, qui évite de faire des vagues, et qui est gentil, empathique, altruiste et responsable.
Mais alors, soudainement, il y a quelqu'un qui n'est pas "satisfait" de nous.
Et nous pourrions penser: "Je fais tous ces efforts pour rien".
Ou peut-être ne nous considérons-nous pas nécessairement comme des personnes qui cherchent à plaire. Nous savons comment nous affirmer dans la plupart des situations, mais il y a certaines circonstances où la peur d'être vu...
Je me souviens qu'il y a deux étés, nous avions la possibilité d'apprendre à faire du foil et du ski nautique. Nous étions avec des amis et il n'y avait littéralement rien d'autre à faire. Lorsque c'était mon tour, j'ai essayé 6 à 8 fois, et ensuite j'ai arrêté. C'était la même chose pour mon mari.
Nos raisons : un peu de fatigue, mais surtout, nous avions l'impression de perdre de plus en plus la face et d'embêter nos deux autres amis. Nous avions peur de les faire perdre leur temps.
Pour eux, c'était un réel plaisir et nous nous amusions. Nous avons essayé, mais puisque nous n'avons pas réussi assez rapidement, les peurs de déranger et d'abuser de la générosité nous ont bloqués... et cela a créé un état d'esprit d'échec.
C'est-à-dire que même si j'ai envie de...
Avez-vous déjà eu cette impression que vous étiez un poids pour les autres? Que vous aviez un défaut, et que celui-ci vous limitait dans vos interactions sociales? Qu'il y a peu de chance qu'on l'on puisse vraiment vous aimer?
Et comme vous avez toujours cette impression de déranger, vous faites ce qui est attendu de vous, même si ce n'est pas ce que vous souhaitez faire. Vous essayer de rendre la vie des autres plus agréable. Vous vous sentez responsables de leur bien-être émotionnel.
Tout ceci peut créer une souffrance émotionnelle chez vous sur le long terme. Si vous vous rappelez de la métaphore des trois propriétaires, Papi et Mamie n'arrivent pas à se mettre à jour, ce qui crée de la souffrance. Ceci est interprété par notre cerveau comme un danger de mort. Papi et Mamie veulent tout faire pour nous maintenir en...
Pour commencer, j'aimerais vous proposer une illustration.
Imaginez une plante, dont vous devez vous occuper. La manière dont on va la soigner, les geste qu’on aura, l’environnement dans lequel on va la mettre vont déterminer à quoi la plante va ressembler et ce qu’elle va être capable de produire (ou non).
Ce qui est impressionnant est que même si on fait n’importe quoi avec notre plante, du moment qu’elle a encore un peu d’énergie et les éléments importants pour sa croissance, la plante fera des repousses. C’est là que nous pouvons voir l'intelligence de la vie.
En prenant cette image de la plante et en l'appliquant à nous-mêmes, nous pouvons arriver à différentes conclusions.
Cette peur de ne pas plaire, nous la connaissons tous. Mais parfois, cette peur peut être tellement forte qu’elle se transforme en phobie, plus précisément la blemmophobie.
Cette phobie est définie par la peur du jugement des autres, la peur d’être observé, de l’image que l’on envoie ou la peur du regard des autres.
Ce n’est pas parce que vous avez envie de plaire aux autres que vous avez cette phobie, mais les trois sources de la blemmophobie peuvent aussi se retrouver dans des cas lambdas.
La première source de la blemmophobie est le manque de confiance en soi. Dans ce cas, pour être apprécié des autres, nous les laissons prendre les décisions à notre place et peut aller jusqu’à ne plus oser s’exprimer par peur de déplaire.
La deuxième source de la...
C’est à partir de l’amour propre qu’on arrive vraiment dans l’épanouissement personnel.
Mais souvent quand on parle d’amour-propre, les gens craignent de déraper dans l’égocentrisme. Ces deux concepts sont sur un continuum, sur deux extrêmes. Dès que vous avez cette peur, vous avez cette valeur qui vous permet de justement pas déraper dans l’égocentrisme.
L’entourage est très important. Il faut absolument choisir un entourage qui nous monte, qui nous motive et nous permet d’avancer, et s’éloigner des personnes qui nous rabaissent, même indirectement.
L’amour de soi permet de se donner de l’importance. On prend la responsabilité de prendre soin de soi-même en premier. Une seule personne peut garantir que vous ayez l’amour que vous méritez, et cette personne c’est vous.
Souvent les gens craignent d’avoir trop confiance, et de ne plus se remettre en question.
Il faut alors réaliser que la confiance et l’humilité peuvent coexister.
Et que l’arrogance est plutôt présente quand il y a un manque de confiance. Quand la personne est persuadée que si elle était sincère, elle ne serait plus importante. L’arrogance est un moyen de se sentir important.
La confiance en soi crée des rapports sains avec les gens. Quand vous êtes bien, vous avez envie que les autres soient bien aussi.
La confiance est une compétence qui s’acquiert.
Si vous manquez de confiance, peut-être allez-vous vous reconnaître dans une ou plusieurs des phrases dont nous allons parler dans cet article.
Quand vous vous dites cette phrase, souvent il y a un manque de capacités et de compétences.
...
Comment gérer les critiques ? Surtout quand cette critique nous fait mal ?
Les critique de type négatives, et parfois même les critiques constructives, peuvent faire mal.
Quand on a un mal émotionnel, notre activité cérébrale est similaire au mal physique. Et parfois vous aurez des commentaires du style : « Faut pas prendre au sérieux, pas grave, on s’en fou ce que cette personne dit, faut pas ».
Mais quand on éprouve ce mal émotionnel, il est difficile de rationaliser et lâcher ce que cette personne nous a dit.
Pour mieux comprendre le fonctionnement de notre cerveau, je vous invite à lire et écouter l’épisode 3.
Quand vous ressassez la critique, vous êtes en mode Luc, en mode conscient. Vous vous rejouez la scène mentalement. Et vous vous faites pleins de scénarios catastrophe à...
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